« Mia crazy bitch. La Crazy Bitch. Quand je l'ai rencontré, dès le départ je l'ai haï au plus haut point possible. Je pensais que c'était une espèce de gosse de riche qui se la pétait et voulait jouer à la rebelle, qu'elle se prenait pour une autre. Dès notre première rencontre, il y a eu des étincelles et on s'est lancés débilement un gage de gamin du "cap ou pas cap", et de fil en aiguilles, de scènes et de bordels pas possibles en public, on est devenus amis. Amitié qui a finit par s'embrumer lorsqu'on a fini par se rendre jaloux et coucher ensembles durant la même soirée. Dans le fond, on est exactement les même et je l'aime bien plus que je pourrais le penser. C'est bien simple, elle me rends dingue, j'ai tout fait pour elle, des discours les plus mièvres aux actes les plus fous, entre nous, c'est de la haine à l'amour et désormais, après un parcours chaotique, on est un "couple" et même ce mot me fait bizarre à le prononcer. »

« Ah Maia, ma chère Maia. Cela a été tout simplement mon premier amour. J'ai jamais vraiment eu de stabilité dans ma vie, et c'était la première femme, jeune fille que j'ai aimé à m'en saigner à la croix. J'ai été son meilleur ami, son confident, son ami masculin le plus proche. Alors qu'avec Lucy, c'était plus une amitié fusionnelle, avec Maia c'était plus chaotique et tendre. Elle m'a blessé, plusieurs fois, pour ce stupide O'Connor, qu'elle a toujours aimé. Elle m'a rejeté, abandonné, oublié, brisé, elle m'a tué tout simplement. On a vécu beaucoup de temps difficiles dans notre amitié, mais j'ai fini par me rendre à l'évidence que je n'aurais jamais ma chance avec elle, je l'ai oublié difficilement et finalement rester son ami, car mon monde sans elle n'est pas vraiment le même. On s'est donc réconciliés pour la dixième fois, passés de superbes mois à voyager en compagnie de sa nièce Tara absolument merveilleuse, et on a progressivement retrouvé cette complicité qui m'avait manqué. Cependant, je sais qu'avec elle, je ne suis jamais à l'abri d'un nouvel abandon, et j'appréhende souvent ce moment. »

« Mon amie, ma confidente, mon ex. Les trois mots qui résument bien Crystel. Du moins résumaient. C'était d'abord mon amie, et la meilleure amie de Maia, grâce à laquelle je pouvais tenter d'améliorer la situation avec Maia, compliqué à l'époque. C'est ensuite devenue une très bonne amie et une confidente. Et finalement, j'me suis attachée à elle et j'ai eu envie de plus, mais elle était plus sceptique. La tension sexuelle restait quand même bien présente face à ce désir tentant à chacune de nos rencontres et de nos brefs baisers. Après maintes hésitations, on a fini par tenter le coup ensembles durant un été, mais cela a finalement duré juste le temps de l'été étant donné que Crystel souhaitait garder cette relation secrète et qu'on s'entendait pas vraiment en tant que couple. Par la suite, on a gardés contacts en devenant sex friends, ce qui permettait d'alimenter encore quelques temps cette passion, avant que la jeune femme ne tombe enceinte. Putain qu'est que j'ai flippé, et en plus elle pouvait plus avorter, mais heureusement, comme par miracle, elle a fait une fausse couche. Et ensuite, comme tous les autres, elle s'est en allé, a filé à l'anglaise à New York, et m'a laissé comme une merde ici. Aujourd'hui, je lui en veux, parce que même si on a eu une relation ambigüe, elle a toujours été mon amie, une bonne épaule et une confidente, et les amis, ils partent pas comme des chiens de cette façon. »

« Ma meilleure amie. Ma meilleure amie d'enfance, ma meilleure amie tout court, c'était mon tout mon rien, celle avec qui j'aurais pu rester sur une île déserte sans encombres pendant toute ma vie. C'était. J'ai tout gâché le jour ou elle a fini, à mon étonnement, par m'avouer qu'elle m'aimait, mais pas de la façon que moi je l'aimais. Elle m'aimait encore bien plus, d'un amour et désir ardent. J'ai rien répondu, et cela l'a blessée je crois. Elle m'a virée de chez elle avant de se barrer du jour au lendemain à Phoenix, notre ville natale. Je savais que dans le fond, c'était la fille parfaite pour moi et lorsqu'il y a an, je suis parti la "réconquérir" j'ai buté face à son père. Ce dernier ne m'a jamais aimé et m'a soudoyé avec une grosse somme pour que je foute la paix à sa fille une bonne fois pour toutes. Et comme un con, j'ai accepté et je suis parti. Aujourd'hui, j'ai le sentiment de l'avoir perdu et cela me fait un mal de chien, car moi sans elle, c'est pas vraiment possible en fin de compte. »

« Une chieuse. Une furie. Je sais même pas pourquoi on se fréquentent. Au début je pouvais pas la saquer, elle était la meilleure d'amie O'Connor, j'ai jamais compris comment ce mec pouvait avoir des amis donc je l'ai toujours méprisé et renié sans prendre le temps de le connaître. Et c'est finalement de manière naturelle, quand je me suis retrouvé seul au monde, que j'ai proposé d'enterrer cette hache de guerre qui n'avait jamais réellement été planté, et que j'ai appris à la connaître. Et il se trouve, que lorsqu'on apprends à la connaître, elle peut se révéler amusante et agréable, bien qu'elle soit pas très nette. Cependant, je l'ai abandonné du jour au lendemain, gâchant une fois de plus une belle amitié, et aujourd'hui, par pure hasard, on se retrouve colocataires. Autant vous dire que c'est pas la joie, puisque Parker a pas vraiment avalé mon petit départ soudain, et on arrive pas vraiment à s'entendre pour le moment, ou peut-être qu'on se fait chier pour se faire chier car dans le fond, qui aime bien châtie bien. Mais pour retrouver un semblant d'amitié, le chemin reste long.. »

« Ma Choupette à moi. La seule véritable fille avec laquelle j'ai jamais eu de problèmes. J'étais entrain de morfondre et m'emmerder à une soirée pourrie, quand je l'ai vue débarquer avec son sourire marrant et son côté un peu extravagante, et aussi étonnant que cela puisse paraître, on a fini par passer la soirée ensembles et s'éclater comme des fous. Finalement, elle a été là beaucoup plus que certaines personnes que j'estimais plus chère à mes yeux ces derniers temps et je l'en suis très reconnaissant. Sans elle, j'aurais probablement sauté du gouffre il y a bien longtemps. Avec elle, je deviens totalement ridicule et presque gay, mais cela me fait rire, et ce petit jeu fait me fait un grand bien de temps à autres. Aujourd'hui, en dépit de tous ce que les autres peuvent raconter, je suis toujours aussi proche d'elle et je ne l'a trouve pas du tout changée. »

« Ma soeur. Ma petite soeur. La prunelle de mes yeux. Elle a toujours été un garçon manqué plus jeune et c'était presque comme une amie en dépit de nos différences d'âges et de sexes, on s'amusait comme des fous et on était très proches. Cette complicité à été mise à rude épreuve à son arrivée à UCLA lorsqu'elle a commencé à ne pas fréquenter les bonnes personnes, et se faire avoir par ce cercle vicieux de l'hypocrisie et cruauté, naïve comme elle l'était. Mais étant donné qu'elle a toujours été borné et impulsive, elle refusait d'entendre mes conseils, me disant qu'elle était "grande" désormais, qu'elle pouvait se débrouiller toute seule. On s'est beaucoup engueulés, pendant quasiment toutes ses années, et même si on vivait ensembles, on ne partageait absolument plus rien. Cela ne m'empêchait pas de garder un oeil sur elle et de tenir à elle, et je fus rongé de culpabilité lorsqu'elle eut un accident , cet incendie qui n'aurait jamais du arriver et qu'elle tombait dans le coma. Je fus à ses côtés pendant chaque jour de son coma, bien que j'ai passé deux des bons mois en prison après avoir tabassé le type responsable de l'accident ; lorsqu'elle s'est réveillée j'étais aux anges et cela va de soit qu'on a fini par se réconcilier. Cependant, suite au froid que j'ai eu avec Lucy, je suis alors parti impulsivement du jour au lendemain, et je l'ai laissé seule, égoïstement, chose que je n'aurais jamais du faire. Aujourd'hui, je suis de retour, j'ai remarqué qu'elle avait vendu notre maison et s'était pris un appartement toute seule, je sais qu'elle m'en veut, et je ne sais pas comment je vais la retrouver, ce qui m'angoisse énormément. »

« Esteban c'est mon cousin maternel, le fils de la soeur de ma mère donc. J'aurais jamais pensé que j'aurais pu avoir dans ma vie de la famille au Brésil m'enfin. J'ai toujours voulu avoir un frère, petit ou grand, et même si l'écart d'âge est court avec Esteban, c'est ainsi que j'ai toujours considéré ce dernier. Comme un petit frère, faut dire qu'il est assez con et insouciant parfois, c'était mon genre aussi avant, mais moin prononcé que lui. A l'instar de moi, il a toujours voulu rejoindre l'armée et se battre pour son pays, raison pour laquelle mes parents l'adoraient et auraient voulus l'avoir comme fils aulieu de moi. Ce qui est marrant c'est que sa mère, elle, n'aimait pas ces affaires de guerres et d'armées tout comme moi. Quand il est venu en Amérique, il logeait chez moi et on a passés énormément de temps ensembles. Cependant, notre relation a été compliqué par les envies d'armées du jeune homme, qui est parti, revenu et reparti à la guerre, se blessant psychologiquement et mentalement. Aujourd'hui il est revenu, il est toujours aussi con et arrogant, mais dans le fond, je sais qu'il a changé, que la guerre l'a changé, et ca m'énerve qu'il veuille rien me raconter et faire comme si tout était normal. On s'était quittés en froid avant qu'il parte, et j'ai pas envie qu'après son retour, ce soit la même chose, je m'en veux déjà assez comme ça de l'avoir laissé partir, même si j'ai quand même pas chaumé pour l'en empêcher. »

« Lucas c'est mon deuxième cousin paternel cette fois ci, et comme Esteban, j'y tiens énormément et il compte beaucoup à mes yeux. De par son caractère, j'ai toujours eu la tendance à le considérer plus comme un meilleur ami qu'un cousin ou qu'un "frère" symbolique. Je passais souvent mes vacances chez lui en Angleterre avec sa famille beaucoup plus "cool" et chaleureuse que la mienne, cela m'apaisait et me faisait beaucoup de bien. On faisait les cons, tout et n'importe quoi, on se confiait absolument tout, bref nous étions copains comme cochons. Il m'avait également confié ses problèmes de couple ul y a quatre ans avec Mia, MA Mia d'aujourd'hui, sauf que j'ai jamais vraiment fait le rapprochement. Ce n'est qu'aujourd'hui après qu'il m'ait confié qu'il était venu en Amérique pour la reconquérir, SA Mia qui se trouve être MA copine actuellement, que je me suis senti con comme pas possible. J'peux pas lui dire, moi qui suis pourtant franc, si je lui disais qu'aujourd'hui, je sors avec la demoiselle, ca le buterait et j'aurais l'impression de le trahir, et j'peux pas, cela lui ferait trop mal, j'tiens trop à lui pour ça. En même temps, je ne pourrais pas éternellement jouer sur les deux tableaux comme si de rien n'était. »

« Un bon ami. C'est un véritable enfoiré, une enflure, mais c'est un sacré bout de mec et rigolo qui me fait bien marrer. On passe de bonnes soirées ensembles, et c'est un bon pote en somme, on fume bien, on fait bien la fête, il est réglo et dynamique, tout est dit. Ces derniers temps cependant, Carter se met à me raconter combien il rame avec cette fille qu'il veut absolument dans son lit, le plus vite possible. Même si je suis pas un grand séducteur, étant donné que la fille semble assez coriace, j'me dis que je peux peut-être l'aider avec quelques conseils qui n'ont jamais tués personne. J'ai quand même hâte de découvrir un jour qui pourrait bien être cette fille pour être si "dure" avec un aussi charmant garçon que Carter. »

« Si j'avais le pouvoir d'éradiquer une seule personne de cette planète, cela serait probablement pas Hitler ou Mussolini, mais cela serait bien lui. J'pourrais même pas mettre sur des mots concrets ma haine et mépris pour ce mec. Je le déteste, que dis-je je le hais du plus profond de mes entrailles, et c'est pas né de la dernière pluie. Il a toujours traité comme un chien Maia, ma chère Maia que j'aimais à l'époque comme pas possible, vu que c'était ma meilleure amie et premier amour, et j'ai jamais pu tolérer toute la vanité et arrogance qui émane de ce type. En plus de m'avoir littéralement arraché Maia pendant toute ma scolarité, et ce qui va sûrement continuer à faire, il est si imbu de lui même et méprisant que j'ai jamais compris comment une personne censé ou même un être humain pouvait ne serait-ce que apprécier ce type. J'crois que c'est bien simple, moi, je peux pas l'encadrer. »

« Nous sommes de retour, pour vous jouer un mauvais tour. Afin de préserver le monde de la dévastation. Afin de rallier tous les peuples à notre nation. Afin d'écraser l'amour et la vérité. Afin d'étendre notre pouvoir jusqu’à la voie lactée. Jessie ! James ! La Team Rocket plus rapide que la lumière ! Rendez-vous tous ou ce sera la guerre ! Miaouss, oui ! La guerre !