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THE SCARS REMIND US THAT THE PAST IS REAL. (r.)

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THE SCARS REMIND US THAT THE PAST IS REAL. (r.) Vide
MessageSujet: THE SCARS REMIND US THAT THE PAST IS REAL. (r.)   THE SCARS REMIND US THAT THE PAST IS REAL. (r.) EmptyDim 20 Nov 2011 - 15:47


Alors finalement, Jenna est arrivée. Genre, je l'attend depuis dix minutes et déjà c'est beaucoup trop long. Je me surprend moi-même à comment la brune m'a transformée en si peu de temps. Si on m'avait dit à la fac que j'allais être un mec avec une copine stable, j'en aurais probablement ris. Ce n'était pas mon genre et pourtant, maintenant je ne me vois pas retourner à ce que j'étais à la fac. Julian beau gosse qui fais chier son monde en baisant à gauche et à droite, se foutant d'ailleurs si elle est la soeur ou la meilleure amie d'une personne qu'il connaissait. C'était moi, en connard de toute sa splendeur. Il y avait toujours Chelsea pour me remettre sur la bonne voie de temps à autre, mais elle en avait déjà plein les bras avec ses emmerdes. J'embrasse Jenna, mais j'ai pas le temps de la convaincre d'aller dans ma chambre, parce qu'elle est là pour m'aider à cuisiner. Je suis pire que mauvais à ce niveau, alors forcément, j'ai besoin d'aide. À chaque chose qu'elle me demandait de faire, elle m'expliquait. J'ai cru me couper deux doigts -ou presque- et me brûler les trois autres. Une cuisine, c'est malsain et c'est pas possible comment je suck ass at it. Finalement, mon travail se résume à surveiller la casserole, histoire que tout ne tombe pas partout. Et je pense que c'est exactement ce qui est sur le point de se produire, l'eau coule et c'est pas une bonne chose, je crois. « Jennaaaa ! » Que je dis, alors que je recule un peu, histoire de pas me faire ébouillanter. Elle répond pas vraiment, je crois pas qu'elle comprenne l'état d'urgence, là. Peut-être que si je suis plus explicite, ça fonctionnerait. « c'est normal que l'eau déborde ? » La réaction est assez efficace. Elle se retourne d'un bloc et se marre. Oh mais elle me trouve drôle, c'est bien, mais là en ce moment Jenna, c'est de la détresse. Elle reprend finalement son sérieux et comme une pro, elle éteint le rond. L'eau commence doucement à diminuer et finalement, à arrêter de couler. Ma sauveuse. Je l'attire à moi et pose un baiser sur son nez. Elle se marre encore, mais elle paie rien pour attendre. On continue comme ça, essayant d'éviter le plus d'accidents en cuisine possible. Ça me va parfaitement, vu que ça veut dire que je dois moins travailler. Je me bouge et vais sortir du vin. J'en ai quelques bouteilles de réserve, on sait jamais et puis, maintenant c'est l'occasion parfaite. « On aurait dû faire un souper comme celui-ci, il y a longtemps. Toi, moi, Chelsea et ... Chelsea. » J'ai faillit faire la gaffe monumentale. Personne sait que j'ai invité Jason ... exepté Jason, bien entendu. Je sais qu'il connait Jenna et pourtant, pas réellement en tant que ma petite amie. C'est le moment idéal et puis, si ça peut rapprocher ma soeur et mon meilleur ami, pourquoi pas. Lorsque tout est finalement prêt, j'attend patiemment avec Jenna pour que Chelshit Williams arrive. Ça faisait quand même un moment que j'avais pas vu ma petite soeur et j'étais vachement heureux de la revoir. Elle, peut-être moins après qu'elle apperçoive Jason, mais c'est un risque que je suis prêt à courir si elle se magne pas pour réaliser qu'elle est faite pour finir sa vie avec lui, Alix ou pas Alix. Je pose ma main au niveau de la taille de ma petite amie et je la serre contre moi. Ça fait un moment que j'insinue des trucs pour qu'elle emménage avec moi, mais forcément, j'ai pas l'impression qu'elle ait capté. Alors je prend mon courage à deux mains et « tu sais, ça fait un moment que j'y pense et ... » ça sonne à la porte. Oh bordel. Chelsea a toujours eu un timing parfait, mais là deux minutes de retard et ça y était et je demandais à Jenna d'emmenager, mais non hein. La brunette se dirige vers la porte et juste avant qu'elle ne réponde, j'attrape sa main et la retourne vers moi. Je caresse doucement sa joue et me jette à l'eau, pied joints. « attend, emménage avec moi. » Ses yeux s'ouvrent et bordel elle est foutrement surprise. Je pensais pas qu'elle le serait autant malgré toutes les indications que je lui avais donné. Elle a pas le temps de répondre que maintenant ma blondasse se met à cogner. Elle fait quoi, là ? Elle a envie de pipi et peux pas attendre deux minutes. Je roule des yeux alors que Jenna me donne un regard du genre désolé de pas pouvoir répondre et ouvre finalement la porte sur Chelsea. J'affiche un sourire presque colgate, voir angélique et j'ouvre mes bras afin qu'elle m'y rejoigne. Si elle pense qu'elle va s'en sauver, elle a totalement tord. « Hey, Chelshit. » que je dis en la serrant dans mes bras.
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Jenna Willsborough

Jenna Willsborough
JENNA ㄨ « every me every you »
→ crédit : Cloé & REMEMBERhope.
→ discussions : 246
→ anniversaire : 07/06/1989
→ âge : 34
→ arrivée en ville : 14/07/2011


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MessageSujet: Re: THE SCARS REMIND US THAT THE PAST IS REAL. (r.)   THE SCARS REMIND US THAT THE PAST IS REAL. (r.) EmptyDim 20 Nov 2011 - 16:55



    « Monsieur Hopkins, nous parlerons de tout ça à mon bureau, je n’ai aucun dossiers sous les yeux et en plus je suis au volant » Que je dis en soupirant à une de mes clients un peu trop collant à mon goût. Il s’est mis dans une sacrée merde et maintenant je dois me battre pour l’en sortir. Si encore il était sympa ou intéressant ça me faciliterait la tâche sauf qu’il est du genre chiant et oppressant. « Je ne vous pas paye pas pour ne rien faire maître Willsborough ». Sa remarque me rend folle de rage sous l’instant. Je finis par freiner brusquement sur la première place que je trouve à proximité de l’appartement de Julian. « Je suis sur votre dossier depuis deux semaines alors vos remarques vous vous les gardez, d’une vous aviez qu’à réfléchir avant de faire vos petits trafics et de deux, si vous n’êtes pas satisfait vous pouvez toujours prendre un autre avocat ». Ma remarque semble le calmer puisqu’il se contente de me remercier avant de raccrocher. Je range mon téléphone avant de prendre mon sac rempli d’affaires, histoire de rester chez Julian quelques jours. Julian a prévu un dîner ce soir avec sa sœur Chelsea. Ça me fait plaisir de le voir, entre mon road trip foireux avec Nick la dernière fois, et le boulot on n’a pas réellement l’occasion de se croiser depuis la dernière fois. Et par dernière fois, j’entends ce putain de moment honteux à l’hôpital où les cachets m’ont fait dire n’importe quoi. J’espère qu’elle ne m’en tient pas trop rigueur. Je marche en direction de l’appartement de Julian. Je suis heureuse de le retrouver puis ce dîner est un peu notre première vraie soirée de couple officielle aux yeux de sa sœur et ce n’est pas rien. Je sais à quel point la famille est importante pour lui et surtout à quel point Chelsea compte. Je monte à son appartement entrant dedans sans toquer, disposant d’une clé laissée par Cassie – au cas où -. Julian arrive souriant et je dépose mes affaires au sol avant de m’approcher passant mes bras autour de sa taille pour l’embrasser tendrement. Mon corps se colle contre le sien et je souris contre ses lèvres avant de me reculer. Julian m’attire rapidement vers la cuisine pour qu’on commence à préparer le dîner. Et je dois dire, que j’ai plutôt intérêt à prendre les choses en mains. Julian est doué dans pas mal de domaine, le sport, le sexe, son métier, mais alors la cuisine…non vraiment son niveau est plus que déplorable. Je lui donne pour seule instruction de s’occuper de la casserole et de l’eau pour les pâtes, au moins ça ce n’est pas trop compliqué. Je me place dos à lui entamant la découpe des légumes en essayant de pas laisser mes doigts filer contre le couteau, vu ma maladresse ça m’étonnerait même pas. Je suis concentrée et j’entends Julian m’appeler, je ne réagis pas sur le coup continuant de découper les tomates alors. Sa seconde remarque m’interpelle plus et je me retourne brusquement. Je regarde les plaques de cuisson remarquant que l’eau est en train de totalement déborder ; bordel de merde quand je disais qu’il n’était pas doué. Je me retiens de me moquer quelques secondes, finissant par laisser échapper un rire en le regardant. Je m’approche, le faisant se décaler sur le côté. Je m’occupe de la situation, baissant la température des plaques avant de prendre l’eau qui déborde dans un petit récipient pour virer le surplus de celle-ci. « Bébé, rappelles moi de plus te laisser cuisiner à l’avenir » que je dis en souriant en coin alors qu’il m’attire contre lui déposant un baiser sur mon nez. Je glisse mes mains dans sa nuque pour les remonter quelque peu dans ses cheveux avant de déposer un baiser contre sa mâchoire puis contre ses lèvres. Je souris en me reculant alors qu’il part chercher des bouteilles de vins. Je continue de m’affairer en cuisine parce qu’à cette allure là on va finir au fast food du coin. Julian revient vers moi me parlant du fait que ce dîner était une bonne idée. Il n’a pas réellement tort, j’apprécie énormément Chelsea mais on a eu beaucoup de temps pour discuter encore moins depuis que notre relation avec Julian est devenue plus sérieuse. « Tant qu’elle me rappelle pas à quel point je me suis affichée la dernière fois devant elle et Jason, ça me va ». Et dieu du ciel heureusement que Jason sera pas là, non parce que sérieusement, le revoir après tout ce que j’ai pu enchaîner comme connerie, non merci. Je sens les mains de Julian se poser contre ma taille, et je souris en coin en cessant ce que je suis en train faire. Le bout de mes doigts caresse son bras alors que je tourne légèrement ma tête vers lui. Ce dernier reprend la parole alors que je l’écoute attentivement. La sonnerie de la porte d’entrée nous interrompt et je me défais de son étreinte pour partir ouvrir. Mais c’est sans compte sur Julian qui me rattrape m’attirant contre lui en caressant ma joue. Je le regarde alors qu’il finit par me demander d’emménager avec lui. Bordel de merde, mon cœur se met à battre rapidement et mes mains deviennent moites. J’en reviens pas enfin, je pensais que ça faisait parti des plans de Julian, on en a jamais parlé et voilà qu’il me demande ça alors que sa sœur s’impatiente sur le pas de la porte. J’entrouvre ma bouche sans qu’aucun mot n’en sorte. Chelsea frappe de plus en plus à la porte et Julian part ouvrir alors que je reste statique sur place, totalement abasourdie. Ce n’est pas une mauvaise sensation au contraire je suis foutrement heureuse qu’il m’a demandé ça. C’est un peu le cours normal des choses et je ne me vois pas franchir ce pas avec un autre que lui de toute façon. Je retourne vers le frère et la sœur qui sont enlacés avant de me rapprocher. « Hey » Que je dis en souriant à moitié perdue dans mes pensées et à moitié stressée par la demande de Julian. Je lui dépose une bise contre sa joue avant de me reculer prenant son blouson pour le déposer sur le porte manteau. « Le dîner est en cours de préparation et on a failli frôler la catastrophe culinaire à cause de ton frère ». Je souris en coin avant de partir dans la cuisine et de revenir avec trois verres sur un plateau et une bouteille de vin. « T’en prendra Chelsea ? » Que je demande en servant le verre de Julian et le mien, sachant qu’il ne refuse jamais un bon verre.
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Chelsea Williams

Chelsea Williams
chelsea ☂
« you can only show feelings when you feel yours in jeopardy. »

chelsea ☂« you can only show feelings when you feel yours in jeopardy. »
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MessageSujet: Re: THE SCARS REMIND US THAT THE PAST IS REAL. (r.)   THE SCARS REMIND US THAT THE PAST IS REAL. (r.) EmptyLun 21 Nov 2011 - 4:37

julian, jennalynn, chelsea & jason



« Chels, tu viens chez moi demain soir, j’vais te cuisiner un truc et on rattrapera le temps qu’on a perdu en se voyant pas. » Est l’exacte phrase que Julian m’a texté ce matin en me réveillant à 7h00 du matin parce que monsieur devait se rendre en cours et a décidé de me faire chier en partageant cette excitante nouvelle avec moi. Je l’emmerde, mais en même temps je peux pas vraiment parce que je l’aime beaucoup trop pour ça. dernièrement son comportement a été exemplaire, j’ai pas eu à le sortir d’embrouilles ou à lui faire la morale sur quoi que ce soit, ça me surprend de lui, mais s’il peut continuer dans cette voie, ça me va. J’veux pas constamment lui courir après comme si j’étais sa mère, parce que de un, c’est pas le cas, et de deux, c’est lui qu’est sensé me… enfin non, on est juste pas supposés se courir après pour que dalle. C’est ça que ça veut dire : être adulte. Soit, je lui ai répondu que j’y serais parce que je peux pas lui dire non, par contre j’ai gravement signifié que je mangerais rien du tout si c’était réellement lui qui cuisinait et que j’me ferais un plaisir de commander du fast-food au coin de la rue. Il a écrit qu’il était mort de rire, ironiquement évidemment, et qu’il verrait à ce qu’il m’empoisonne pas. De toute façon, Jenna sera là et donc ça veut tout dire. J’dois quand même penser au fait que j’aie pas vraiment passé de temps avec elle depuis qu’elle est avec Ju et que ça fait bizarre parce que d’habitude je connais ma belle-sœur potentielle et je sais tout ce qui se passe dans la vie du grand blond. Bon, maintenant faut que je trouve le courage de faire ce que j’ai à faire sur ma liste, oh cette satanée liste. Le grand projet sur lequel je travaille depuis une semaine est presqu’à jour… Parfois j’ai envie d’abandonner à cause des complications qui se mettent sur le côté, mais quand j’y pense vraiment, c’est ce que j’ai décidé de faire, quoique parfois j’me demande si c’est la bonne chose, si j’vais vouloir rester derrière un appareil photo le restant de mes jours. C’est une réflexion que j’ai pas trop le temps de me faire, surtout parce que je dois me mettre sérieusement sur mon projet et le terminer pour pouvoir le présenter quand on me le demandera. Mes patrons sont un tant soit peu exigeants et je tiens à faire bonne impression, ça aide toujours qu’un supérieur ait quelque chose de bien à dire sur soi. Mon portable vibre, Aaliyah qui m’envoie que je lui manque et une photo d’elle avec des sucreries étalées sur la table basse du salon à la maison. Je souris, lui répondant qu’il faudra qu’on se voit bientôt parce qu’on doit se mettre à jour sur la vie de l’autre et que ça presse. J’ai pas eu la chance de la croiser au gala, en fait j’y ai pas fait grand-chose, je m’en souviens pas trop parce que j’crois que c’est trop vague. C’est pas si grave de toute façon, je sais que rien de grave est arrivé et donc j’ai besoin de m’en soucier. Bon, encore deux heures et j’ajouterais les derniers détails demain parce que j’y suis depuis 13h00 et que je peux pas faire que ça de mon après-midi jusqu’à temps que ce soit l’heure de bouger. Parfois, j’me sens seule parce que y’a pas de bruit ni de colocataire éclatant qui se déroule et que les voisins sont plutôt calmes la plupart du temps. J’ai l’impression d’être coupée du reste du monde, mais je me réconforte en me disant que Ju, Cassie et Nick habitent pas si loin que ça et que j’peux toujours aller les voir si j’ai besoin de compagnie. Les deux heures supplémentaires que j’ai décidé de consacrer à mon projet passent plutôt rapidement, je finis donc par le mettre de côté pour aller me préparer. Je vais pas me casser la tête ni m’habiller trop classe, c’est qu’un souper et c’est chez Julian, pas chez le prochain maire de la Californie, donc bon. Cheveux lisse, chandail avec motifs que Ju m’a acheté y’a quelques mois, skinny jean, sandales gladiateurs. J’suis prête à partir, pas besoin de ma voiture pour y aller, ce serait trop facile. La musique de mon téléphone passe dans mes oreilles en marchant, puis je range mon portable quand j’aperçois l’édifice et que je monte jusqu’à l’appartement. Je sonne, rien. Je cogne, j’entends du bruit et la porte s’ouvre. « Hey, Julianna. » Mon frère me serre dans ses bras et je remarque Jenna plus loin dans la pièce. Elle a l’air surprise à cause de quelque chose, mais je sais pas encore pourquoi donc je dirais rien pour l’instant. « Hey ! » Que je réponds, avant qu’elle me fasse la bise. « Dis-toi que c’était constant quand on habitait tous ensemble. Il essayait de nous tuer régulièrement, mais ça a jamais fonctionné. » Dis-je, avec un énorme sourire aux lèvres. Sans halluciner, je vois des verres de vin circuler et on me demande si je vais boire. Pourquoi pas ? « Évidemment, fais tourner. » On trinque à je ne sais quoi et on a le temps de boire qu’une gorgée avant que je décide de couper le moment. « Hésite pas Jenna si tu veux mon aide, je sais que l’autre blond peut pas t’aider et je veux pas que tu te sentes surchargée. » Je repense instantanément à la dernière fois qu’on s’est croisées et j’ai envie de pouffer de rire, mais je me retiens. En retournant dans le salon j’entends quelqu’un cogner. Sûrement Cassie qui a oublié ses clefs pour la millionième fois. Je parle fort en me dirigeant vers la porte, histoire qu’elle sache que c’est à elle que je m’adresse. « Tu devrais sérieusement penser à te faire faire plusieurs doubles de cl… » Ma voix se fait muette quand j’ouvre la porte assez grand pour voir que non, c’est pas Cassie. En fait, c’est même pas une fille, ni une amie, c’est… « Jason. » Putain, si c’est ce que je pense que c’est, Julian Williams va prendre un bain dans son sang ce soir, et je plaisante pas. « Entre ! » sort tout seul, il s’avance et reste planté là quelques secondes avant que je réagisse et m’approche de lui pour l’enlacer et lui déposer un baiser sur la joue. « Alors Julian t’a invité aussi ? » Ce petit con peut faire ses adieux, il va mourir, c’est une promesse.
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